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Un diplôme-une startup et un diplôme-un brevet d’invention

La Commission nationale de coordination et de suivi de l’innovation et des incubateurs universitaires a soumis des propositions pour l’application de l’arrêté relatif au mécanisme ‘un diplôme-une startup’ et ‘un diplôme-un brevet d’invention’, lancé en application de l’engagement du président de la République à faire de l’université algérienne un centre de rayonnement national et international, a indiqué, jeudi, un communiqué du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

En application de l’arrêté ministériel 1275 (un diplôme-une startup et un diplôme-un brevet d’invention), la Commission nationale de coordination et de suivi de l’innovation et des incubateurs universitaires a soumis son plan de travail contenant des conceptions et des propositions pour l’application de l’arrêté en question. Cette Conférence a vu également l’élaboration du calendrier des rencontres et des séances de travail entre les différents acteurs au sein des établissements d’enseignement supérieur, dans le but de mettre en exécution l’arrêté durant l’année académique 2022/2023.

Cette démarche tend également à “former un citoyen modèle et productif, et une génération d’étudiants entrepreneurs, en mesure de créer de la richesse et des emplois, d’atteindre un taux de croissance économique considérable et de contribuer à la réalisation du développement économique globale et durable”, précise le communiqué.

S’agissant des mécanismes de mise en œuvre de cet arrêté, le ministère a précisé qu’ils se déclinent dans quatre (4) grands axes à savoir : “l’aspect pédagogique, la sensibilisation et le coaching, la relation avec l’environnement socioéconomique, et les brevets d’invention ‘label projet innovant’ et ‘label startup’”.

L’aspect pédagogique repose sur six (6) points essentiels, à savoir “l’idée innovante, le groupe de travail, l’élaboration du mémoire et la supervision et le jury”, rapporte l’APS.

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